«Vous avez cette éternelle sornette que si l’anarchie devait survenir, elle viendrait des pauvres. Pourquoi le devrait-elle? Les pauvres ont été rebelles, mais jamais anarchistes; ils ont davantage d’intérêts que quiconque à l’existence d’un gouvernement décent. Le pauvre homme est réellement chevillé au pays. Le riche, non; il peut toujours aller en Nouvelle-Guinée avec son yacht. Les pauvres se sont parfois soulevés contre un mauvais gouvernement; les riches se sont toujours soulevés contre l’idée même d’être gouvernés.» — G. K. Chesterton, L’homme qui était Jeudi, 1908. Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
Posons les choses autrement
Nous vivons dans un continuel jeu de dupes. Le pouvoir fait semblant de respecter les règles démocratiques et nous faisons semblant de le croire. Qui osera dire les choses telles qu’elles sont dans la réalité?