Ces jours-ci, notre région est la victime du Salon de l’Auto de Genève. Victime, car la manifestation attire tellement de monde que les périphériques genevois ne sont plus qu’un bouchon. Les radios ne cessent d’exhorter le public à aller se pourlécher sur les bagnoles… *en train !*
L’ermite des tempêtes
On hésite toujours un peu avant de dévoiler de tels lieux. Le mieux serait peut-être de l’enfermer dans l’album de souvenirs de son cœur et d’y retourner, si possible incognito, lorsque l’occasion se présente. D’un autre côté, il me semble que de ne pas en parler en ces temps troublés serait cruel,un peu comme refuser l’eau à l’assoiffé. Car la simple existence de cette forteresse, et du chevalier qui l’habite, constitue une bonne nouvelle et une défaite de l’empire du Rien.