On n’est jamais si bien servi que par soi-même. Tout au début de l’Antipresse, j’avais créé une rubrique «La Poire d’angoisse» pour chroniquer l’irrésistible dérive de notre société vers la censure absolue, et voici que nous en sommes à notre tour les victimes.
«L’école de la chair» de Mishima
En submergeant le Japon, la Modernité a secoué un antique édifice de règles et de traditions. Pour le meilleur ou pour le pire? Le roman de Mishima laisse la question délicatement et douloureusement ouverte.