Le 1er mars 2016, le conseiller d’Etat (ministre du gouvernement) Oskar Freysinger, chef du département de la Formation et de la Sécurité du Valais, présentait une brochure bilingue contenant dix thèses sur l’école, très brièvement explicitées. La plupart des médias ont correctement informé sur cette initiative peu ordinaire en Suisse. D’autres en ont profité pour alimenter leur campagne de dénigrement systématique à l’égard de Freysinger, par ailleurs seul ministre UDC dans les gouvernements de Suisse romande.
Comment nommer l’innommable?
L’évocation d’une restauration du nazisme dans les pays baltes dans un débat de la Radio suisse romande m’a valu de vives attaques dans pratiquement tous les médias suisses de langue française. Il est intéressant de se demander pourquoi.