Versons quelques larmes… et puis ne faisons rien. Cela vous fait penser à quelque chose? La stérile et complice déploration des libéraux face aux progrès du Mal ne date pas d’hier. Elle s’est même incarnée au XIXe siècle dans des personnages hauts en couleur.
«L’Atalante» de Jean Vigo (1934)
Jean Vigo laissa son empreinte dans le cinéma français avec seulement quatre réalisations. Il fut emporté par la tuberculose à l’âge de 29 ans. Selon Georges Sadoul, «Vigo se montra un poète génial, le Rimbaud du cinéma.»