Versons quelques larmes… et puis ne faisons rien. Cela vous fait penser à quelque chose? La stérile et complice déploration des libéraux face aux progrès du Mal ne date pas d’hier. Elle s’est même incarnée au XIXe siècle dans des personnages hauts en couleur.
Guerre nucléaire et pulsion de mort
On aimerait dire le contraire, mais chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus du moment où nous allons très probablement basculer dans la guerre. Et quand je parle de guerre, je ne fais pas référence à la «petite guerre», celle dont il était question dans ma précédente chronique: criminalité endémique, colonisation-immigration, terrorisme au quotidien, etc.