Versons quelques larmes… et puis ne faisons rien. Cela vous fait penser à quelque chose? La stérile et complice déploration des libéraux face aux progrès du Mal ne date pas d’hier. Elle s’est même incarnée au XIXe siècle dans des personnages hauts en couleur.
Fin de parcours
Quand on suit l’actualité au quotidien, l’impression générale qui s’en dégage est celle d’un dérèglement croissant. Les anciennes règles n’ont plus cours, et l’on ne peut pas non plus dire que de nouvelles règles soient venues les remplacer, à plus forte raison encore lesquelles. On est donc dans le dérèglement — les règles qui se défont. Et donc tout part en petits morceaux.