Non, Klaus Schwab n’est pas l’Hitler du nouvel ordre mondial, il n’en est probablement «que» le secrétaire général. Il n’en reste pas moins que son projet pour l’espèce humaine ne cède rien, en démence, au nazisme. Il est donc crucial de comprendre d’où il vient et comment il a pu s’imposer.
Un si désirable anéantissement
Une guerre frontale en Europe aujourd’hui signifierait la destruction du continent et peut-être même de l’humanité. On ne peut pas imaginer que nos dirigeants n’en soient pas conscients. Si, par conséquent, ils parlent de guerre, ce ne peut être que pour la conjurer. Ou bien un effet d’ironie…