La Saint-Georges, chez les Serbes, est la grande fête du printemps et du renouveau (23 avril/6 mai). C’est aussi l’une des slavas les plus populaires. Aleksandra Pavićević nous adresse ce conte miraculeux qui illustre une coutume spécifique à ce peuple: le culte d’un saint patron familial, et non personnel, dont la vénération se transmet de père en fils depuis la nuit des temps.
Ciné-autopsie
Combien de fois me suis-je dit, en contemplant ces derniers temps l’agonie française: n’est-ce pas Que la fête commence à la mode Pétain? Et ces «élites» robotisées, ne semblent-elles pas sorties d’une pantalonnade posthume de Jacques Tati? Avec son livre sur la disparition de la France au cinéma, Nicolas Bonnal met des images sur nos plus obscures intuitions. Le paradoxe: en illustrant la mort de la France, il la rend plus vivante que jamais, une dernière fois…