Terrorisme, contre-terrorisme: le droit comme variable d’ajustement
On se demande parfois à quoi sert le droit. On pourrait être tenté de dire: à rien. Mais il ne faut pas céder à cette tentation. Il sert bien sûr à quelque chose. Mais à quoi?
On se demande parfois à quoi sert le droit. On pourrait être tenté de dire: à rien. Mais il ne faut pas céder à cette tentation. Il sert bien sûr à quelque chose. Mais à quoi?
On a beaucoup parlé ces derniers temps des fraudes électorales aux États-Unis, mais, comme on le sait, le problème se pose également ailleurs.
L’aspect le plus inquiétant de la covid-19 est incontestablement la normalisation de procédures dictatoriales au nom de la protection de la santé collective. On retiendra en particulier les quarantaines et la vaccination.
Beaucoup d’institutions sont aujourd’hui en fin de vie. Il en est ainsi des églises, dans une certaine mesure de la famille, mais aussi, je pense, des universités.
Nous avons, en cet hiver 2020-2021, le privilège d’observer un spectacle rare. Privilège que la plupart préféreraient sans doute laisser à d’autres: le virage d’une société «modérée» sinon démocratique vers l’autoritarisme et la dérive totalitaire.
N’oublions jamais d’honorer nos ancêtres! Et n’hésitons pas à ranger parmi eux nos maîtres, nos modèles et tous ceux qui nous ont inspirés et aidés à grandir.