Une fois de plus, sous le nom de code COP24, les Administrateurs préoccupés se sont penchés sur le souffle de la Terre. Une fois de plus, ils ont abouti à la conclusion peu surprenante que les engagements pris lors des précédentes conférences n’ont nullement été tenus mais qu’il est d’autant plus nécessaire de redoubler d’efforts, car l’horloge du désastre final affiche déjà minuit moins quatre. Et si notre ultime possibilité de salut résidait dans l’abolition de ces psychodrames?
L’union du trône et de l’autel
Projetons-nous un demi-siècle en arrière: l’Église officielle aurait-elle osé alors défendre l’homosexualité et condamner sa criminalisation? Non, bien sûr. Ce n’était pas dans l’air du temps ni prescrit par l’État. Or les Églises officielles sont très sensibles à l’air du temps. Ainsi qu’aux prescriptions de l’État…