Une fois de plus, sous le nom de code COP24, les Administrateurs préoccupés se sont penchés sur le souffle de la Terre. Une fois de plus, ils ont abouti à la conclusion peu surprenante que les engagements pris lors des précédentes conférences n’ont nullement été tenus mais qu’il est d’autant plus nécessaire de redoubler d’efforts, car l’horloge du désastre final affiche déjà minuit moins quatre. Et si notre ultime possibilité de salut résidait dans l’abolition de ces psychodrames?
Faux droit, vraies dévastations: les sanctions internationales
Où l’on voit que, comme dans le baiser fatal du *Parrain*, les sanctions internationales expriment beaucoup moins la rigueur d’un ordre juste que la brutalité d’États mus par des objectifs inavouables.