Les crises se multiplient et se superposent, dessinant une perspective de plus en plus claire. Par ces temps d’orages et d’effondrements, jusqu’à quel point peut-on encore se plier à un ordre qui nous mène vers les abîmes?
Guerre nucléaire et pulsion de mort
On aimerait dire le contraire, mais chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus du moment où nous allons très probablement basculer dans la guerre. Et quand je parle de guerre, je ne fais pas référence à la «petite guerre», celle dont il était question dans ma précédente chronique: criminalité endémique, colonisation-immigration, terrorisme au quotidien, etc.