Bienvenue en Notopie
La notopie n’est ni désirable comme une utopie, ni terrifiante comme une dystopie. C’est la promesse populiste du centre et de la médiocrité, l’état d’apathie terminale d’une société qui ne veut plus vivre.
La notopie n’est ni désirable comme une utopie, ni terrifiante comme une dystopie. C’est la promesse populiste du centre et de la médiocrité, l’état d’apathie terminale d’une société qui ne veut plus vivre.
Notre abonné et correspondant Martin Dabilly nous a déjà raconté sa vie de paysan immigré dans le Yunnan. Nous lui avons demandé de nous livrer le récit de l’an 2020 tel qu’on l’a vécu en Chine.
On disait jusqu’ici que la réalité dépassait la fiction. Depuis l’avènement des réseaux sociaux, c’est la fiction qui détermine la réalité. Les récents événements révèlent l’ampleur de cette prise d’otages.
On a beaucoup parlé ces derniers temps des fraudes électorales aux États-Unis, mais, comme on le sait, le problème se pose également ailleurs.
L’aspect le plus inquiétant de la covid-19 est incontestablement la normalisation de procédures dictatoriales au nom de la protection de la santé collective. On retiendra en particulier les quarantaines et la vaccination.
Beaucoup d’institutions sont aujourd’hui en fin de vie. Il en est ainsi des églises, dans une certaine mesure de la famille, mais aussi, je pense, des universités.