«Le mal naît où le jugement s’arrête, le refus de juger ne manque de favoriser le mal, le mal s’arme de nos respects et pour en imposer à la raison, seule en état de le confondre. Où l’on s’incline et se prosterne, c’est en définitive le mal qu’on adore et les profanateurs sont l’honneur de l’espèce humaine dans la majorité des cas, mais l’ordre a toujours trop de crimes à se reprocher pour endurer l’audace et tolérer un esprit d’examen dont il est la victime désignée. Le peuple ne voit donc le mal où le mal se situe, l’ordre et la foi qui double l’ordre l’en écartent, le mal est projeté sur des objets ou sur des hommes qui n’en peuvent mais et dont le bris ou le massacre n’arrangera pas les affaires, mais permettra du moins aux rages impuissantes de se décharger.» — Albert Caraco, «Du mal en tant […]
Protéger nos enfants… de l’Etat!
Quand les institutions internationales et les Etats s’emploient à normaliser la pédophilie, les parents restent leur dernier recours. Encore faut-il qu’ils sachent à quoi ils ont affaire. Le livre d’Ariane Bilheran et Régis Brunod nous donne des armes pour reconnaître et combattre ces abus généralisés.