«Toutes les classes dominantes du passé ont eu au moins l’intelligence de comprendre que dans la mesure de leurs moyens, elles n’avaient pas intérêt à répandre la peste, la lèpre, la tuberculose, etc. Parce qu’elles en seraient aussi touchées. La classe dominante actuelle a répandu la non-pensée, le look spectaculaire, la connerie. Et elle est touchée elle-même d’une manière terrible: bêtise des “décideurs”.» — Guy Debord, projet de dictionnaire (non réalisé), in Lire Debord (L’Echappée, Paris, 2016, p.184-185) Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
Denis Pouchiline: «Nos enfants n’ont pas connu d’autre monde que la guerre»
Comment vit-on dans l’Ukraine en guerre? Nos médias de grand chemin «couvrent» abondamment la zone pro-occidentale, mais ne s’aventurent guère dans l’autre camp: le Donbass. Ils censurent même les reporters comme Anne-Laure Bonnel, Alina Lipp ou Graham Phillips qui documentent la terrible réalité que vivent ces régions où, depuis dix ans, les civils sont directement ciblés par les forces de Kiev. Guy Mettan s’y est rendu et en a rapporté un entretien avec un responsable de premier plan.