Oui, vous avez toujours la possibilité de refuser. De dire votre désaccord. De ruer dans les brancards. Mais cela servira-t-il à quelque chose? La question n’est pas nouvelle, les réponses pourraient l’être.
Gifles, coups de lame et autres égratignures
Il y a quelques semaines, les médias en Suisse se faisaient l’écho d’une scène de la vie militaire dans ce pays: des militaires hommes avaient été frappés et giflés par leur supérieur hiérarchique, en l’occurrence une femme. En guise de sanction, la dame s’était vue retirer son «commandement», avant d’en obtenir un autre à un autre endroit. On l’avait donc déplacée.

