L’Église catholique romaine, en particulier sous le pontificat de François, s’est engagée en faveur de l’immigration de masse avec ardeur — mais à rebours, très probablement, d’une forte majorité de ses propres fidèles. Jusqu’où poussera-t-elle son «idéalisme pénitentiel»?
L’union du trône et de l’autel
Projetons-nous un demi-siècle en arrière: l’Église officielle aurait-elle osé alors défendre l’homosexualité et condamner sa criminalisation? Non, bien sûr. Ce n’était pas dans l’air du temps ni prescrit par l’État. Or les Églises officielles sont très sensibles à l’air du temps. Ainsi qu’aux prescriptions de l’État…