C’est la phase la plus bizarre de l’opération psychologique. C’est comme quand vous vous réveillez le lendemain d’une soirée du bureau avec une gueule de bois quasi terminale et le vague souvenir d’avoir administré une fellation à la tequila à Bob-le-comptable dans l’aire de réception du neuvième étage, à moins ce que ne fût le hall d’entrée de votre immeuble, tandis que quelqu’un qui ressemblait vaguement au gosse toujours souriant du service courrier filmait la scène sur son téléphone.
Déjeuner avec le diable
Il peut être profitable de déchaîner ou de favoriser le chaos. Mais les résultats ne sont pas toujours prévisibles. Comme dit la sagesse populaire, il faut y aller avec une très longue cuiller.