Le 24 mars dernier, le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie, siégeant à La Haye, a rendu son verdict contre Radovan Karadžić, président de la République serbe de Bosnie au temps de la guerre civile yougoslave (1992-1995). Quarante années de prison pour un homme de 71 ans.
Ce verdict était attendu. Le TPIY ne pouvait faire moins, mais il aurait pu faire plus.
De Colombie, une voix s’élève pour l’humanité entière
Gustavo Petro a rompu tout lien avec Israël. Ce n’est qu’un aboutissement d’un long conflit décrit ici par Ariane Bilheran.