Je suis convaincu de ne pas être le seul que la fièvre présidentielle française a conduit au bord de l’exaspération. Il me semble donc utile et même nécessaire d’élargir les horizons, ce qui était du reste dès le premier jours la mission de l’Antipresse.
Observe. Analyse. Intervient.
L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact!