Jamais dans l’histoire les envahisseurs n’ont fait le travail tout seuls. Pour qu’une invasion ait lieu, il faut bien que la population conquise l’ait voulu, ou du moins laissé faire. La fin de l’Empire romain est un bon exemple à méditer.
A qui profite la paix en Ukraine?
Ou plutôt: à qui profite la poursuite d’une guerre déjà perdue? C’est la question qui continue de résonner après les spectaculaires sommets et discussions de «paix» de ces derniers jours. Si elles ne laissent entrevoir aucune perspective d’apaisement concrète du conflit, ces agitations en disent long, en revanche, sur l’état moral et psychique de nos propres dirigeants.