Le 8 octobre dernier, le père de mon ami Oskar Freysinger a quitté ce monde. Georg Freysinger était un magnifique artisan, intègre, intransigeant et droit, qui parlait et pensait avec ses mains. En guise d’oraison, son fils lui a dédié des vers poignants qui, par-delà l’émotion filiale, nous rappellent la valeur de ce trésor que nous méprisons tant aujourd’hui: le travail manuel. J’ai demandé à Oskar la permission de reproduire ici ce beau poème de la gratitude qui est aussi un petit traité d’éducation. Slobodan Despot Les mains de papa Papa, ce sont tes mains qui ont construit nos vies, Car tu te méfiais de la parole humaine. C’est sous leur protection que nous avons grandi. Leur calleuse douceur atténuait nos peines. Souvent, tu les as abimées dans ton labeur Et tu les recousais à même l’établi. Jamais tu n’as été vaincu par la douleur, Jamais face à l’adversité tu […]
L’énigme des rêves de pierre
Un homme seul et malade, en Floride, a construit un château de corail, le Coral Castle, pesant plus de 1000 tonnes. A ce jour, personne n’a su expliquer comment. La manière dont cette énigme a été glissée sous le tapis est révélatrice d’un certain mode de pensée «scientifique».