Un imbroglio politico-juridico-financier helvéto-germanique dont on pourrait tirer une série à rallonges. Nous en livrons, en exclusivité pour les lecteurs d’Antipresse, un bref synopsis, où l’on découvre que les grandes banques entretiennent des services de renseignement internes auxquels les limiers fédéraux n’ont rien à refuser.
L’ère Trump, ou la fin de la Modernité
Les événements de ces derniers jours nous enseignent que la frontière entre réalisme politique et dérangement mental est parfois flottante. Ce qui est établi, en tout cas, c’est que les Européens, à la différence des Américains, n’ont pas les moyens de leur folie.

