Un imbroglio politico-juridico-financier helvéto-germanique dont on pourrait tirer une série à rallonges. Nous en livrons, en exclusivité pour les lecteurs d’Antipresse, un bref synopsis, où l’on découvre que les grandes banques entretiennent des services de renseignement internes auxquels les limiers fédéraux n’ont rien à refuser.
Fin de parcours
Quand on suit l’actualité au quotidien, l’impression générale qui s’en dégage est celle d’un dérèglement croissant. Les anciennes règles n’ont plus cours, et l’on ne peut pas non plus dire que de nouvelles règles soient venues les remplacer, à plus forte raison encore lesquelles. On est donc dans le dérèglement — les règles qui se défont. Et donc tout part en petits morceaux.