« Ce qu’est l’humanisme, il n’est pas possible de le désigner, car ce n’est pas une personne, un objet, un caractère, mais une essence spirituelle; on ne peut le percevoir dans son être, mais uniquement dans son action: là où sa force créatrice réalise quelque chose qui ne corresponde pas à son idée, mais qui soit totalement l’idée elle-même. Ce quelque chose, cette réalité, cet objet, c’est: la chaise électrique, symbole de l’humanisme. La chaise électrique est le symbole d’un pouvoir illimité, mais drapé d’une apparence de miséricorde. La chaise électrique tue au nom du pouvoir au même titre que le sabre, la balle ou la guillotine, mais elle tue de loin, impersonnellement, et ce n’est pas accompli par l’homme, mais par une force cosmique. » — Béla Hámvas. Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
Denis Pouchiline: «Nos enfants n’ont pas connu d’autre monde que la guerre»
Comment vit-on dans l’Ukraine en guerre? Nos médias de grand chemin «couvrent» abondamment la zone pro-occidentale, mais ne s’aventurent guère dans l’autre camp: le Donbass. Ils censurent même les reporters comme Anne-Laure Bonnel, Alina Lipp ou Graham Phillips qui documentent la terrible réalité que vivent ces régions où, depuis dix ans, les civils sont directement ciblés par les forces de Kiev. Guy Mettan s’y est rendu et en a rapporté un entretien avec un responsable de premier plan.