«Une Europe qui ne signifierait qu’une ambition et même une crainte politique n’aurait qu’une existence fantomatique et larvaire. Elle ne peut avoir de conscience que si elle a une existence et ne peut avoir une existence que si elle a un sens.» Emmanuel Berl, «Y a-t-il une conscience européenne?», Nouvelles Frontières, juin-juillet 1964. Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
Fin de parcours
Quand on suit l’actualité au quotidien, l’impression générale qui s’en dégage est celle d’un dérèglement croissant. Les anciennes règles n’ont plus cours, et l’on ne peut pas non plus dire que de nouvelles règles soient venues les remplacer, à plus forte raison encore lesquelles. On est donc dans le dérèglement — les règles qui se défont. Et donc tout part en petits morceaux.