Ma vie en Occident a commencé par les douze dimanches sans voiture pour s’enchaîner sur la semaine des quatre jeudis du «développement durable» et des autres dystopies malthusiennes où l’humain ordinaire, sans même qu’il s’en rende compte, apparaît comme un fardeau surnuméraire. À bien y regarder, on peut voir une étrange logique dans cette course à l’autoannihilation.
Les pirates des Caraïbes et les pirates de Bruxelles
Les deux comparses occidentaux, États-Unis et Union européenne, s’agitent de manière particulièrement fébrile sur la scène internationale. Deux récentes actions semblent aggraver un constat désormais ancien: leur dédain de la plus élémentaire légalité.

