Houellebecq a bien du courage, mais il n’a pas raison pour autant. Dans son pronostic sur la guerre civile qui attend la France, il a tout simplement oublié l’un des protagonistes, et non le moindre.
Guerre nucléaire et pulsion de mort
On aimerait dire le contraire, mais chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus du moment où nous allons très probablement basculer dans la guerre. Et quand je parle de guerre, je ne fais pas référence à la «petite guerre», celle dont il était question dans ma précédente chronique: criminalité endémique, colonisation-immigration, terrorisme au quotidien, etc.