J’ai assisté le 17 septembre 2025 au concert le plus étrange et le plus émouvant de ma vie.
«Fahrenheit 451» ou l’incendie de livres
Où il est rappelé combien le livre est un outil subversif… et contagieux!
J’ai assisté le 17 septembre 2025 au concert le plus étrange et le plus émouvant de ma vie.
Où il est rappelé combien le livre est un outil subversif… et contagieux!
Les tribus primitives croient qu’à force d’invoquer la pluie, elle finit par tomber. Mais qu’arrive-t-il lorsqu’on invoque sans cesse la guerre, qu’on dit ne pas vouloir, mais qu’on veut en fait très fort (mais sans le crier trop haut)?
Vous voulez acheter, signer, accéder partout et tout de suite? Alors, vous déléguez à une infrastructure le soin d’établir la preuve de qui vous êtes. Côté face, vous vous démultipliez; côté pile, l’infrastructure vous tient par le service même qu’elle vous rend.
Était-il un apôtre du Christ, un missionnaire du réarmement moral américain ou seulement un agent de relations publiques très efficace du mouvement MAGA? La personnalité de Charlie Kirk s’avère plus vaste et plus profonde que son époque. C’est pourquoi son assassinat pourrait marquer la troisième inflexion par balles de l’histoire américaine.
Le 10 septembre 2025, Charlie Kirk, président d’une association d’étudiants conservateurs et soutien clef de la campagne de Donald Trump, était abattu d’une balle dans la carotide pendant une réunion en plein air dans l’Utah. Le jeune père de 31 ans laisse une veuve et deux enfants. L’onde de choc provoquée par cet assassinat est considérable, mais elle ne fera que s’amplifier.
Où l’on voit que, comme dans le baiser fatal du *Parrain*, les sanctions internationales expriment beaucoup moins la rigueur d’un ordre juste que la brutalité d’États mus par des objectifs inavouables.
Nous vivons une époque de dérives, certaines graves et irréversibles. Mais les détenteurs de la parole publique trouvent mille manières de ne pas en parler — voire, au pire, de les justifier. Ils feraient bien, peut-être, de relire l’Évangile…
Jamais on n’avait vu pareil étalage de servitude en Europe. Mais au-delà de la servitude se pose le problème de la corruption. C’est-à-dire, en l’occurrence, de l’éloignement dramatique de notre système de toutes les valeurs et finalités pour lesquelles il était conçu.
Partant d’une question juridique sur l’intelligence artificielle, on bute sur le trouble profond qui affecte la perception que nos contemporains ont de leur propre humanité. Comme quoi, le problème de l’IA est moins dans l’évolution de la machine que dans l’involution de l’humain…
A Hiroshima, on a délibérément visé des civils. La technologie était nouvelle, mais non le procédé. En réalité, la guerre moderne a repéré le civil comme un maillon faible dans le dispositif adverse et par conséquent une cible légitime. De quoi nous parle cette évolution?
Au temps de leur tradition humanitaire, les Suisses contribuaient généreusement à la Chaîne du Bonheur. Depuis, le vent a changé et l’on préfère désormais alimenter la discorde. Nous lançons donc l’idée de la Chaîne du malheur, organisation vindicative suisse pour l’aide aux conflits. Et, comme auparavant, la télévision de service public y contribue avec ses inénarrables animateurs.
Au nom de la lutte contre le terrorisme et la cybercriminalité, la Suisse s’apprête à imposer aux fournisseurs numériques la conservation proactive des «métadonnées». Devant cette brèche dans la protection de la vie privée, Proton menace de quitter le pays. Cette annonce soulève une question essentielle dans une société attachée à la liberté personnelle: la transparence doit-elle être exigée des citoyens ou des gouvernants?