Le 1er avril 2021, les Bruxellois qui avaient pris part à un pique-nique au soleil étaient dispersés par un déploiement de moyens de répression qu’on réserverait à des groupes terroristes. Michel Rosenzweig, qui y était, décrit cette violence en marge de toute légalité comme l’instauration d’un «fascisme blanc». L’événement mérite de rester consigné dans la chronique de ce temps.
La vraie crise: comment l’escamoter?
Il est bien connu que les autorités aiment faire diversion. On amuse ainsi les populations, et pendant ce temps on fait ce qu’on a envie de faire sans être dérangé.