Cela remonte à il y a environ deux ans, au moment où je le rencontrai pour la première fois. Il me dit: «pose ça là!» et m’indiqua, en tapotant ses cuisses d’un court va-et-vient du dos de la main, où poser les œufs frais que je lui apportais de ma basse-cour. Ce fut ma première rencontre avec Marco.
Comment nommer l’innommable?
L’évocation d’une restauration du nazisme dans les pays baltes dans un débat de la Radio suisse romande m’a valu de vives attaques dans pratiquement tous les médias suisses de langue française. Il est intéressant de se demander pourquoi.