1933, c’est le chiffre clef de nos laveurs de cerveaux! C’est l’horizon indépassable de leur analyse politique, c’est le résultat chiffré de tous leurs décryptages, et c’est même leur indice de quotient intellectuel (si l’on n’oublie pas de mettre une virgule au milieu).
Le roman, dernier refuge des espions?
A notre époque, écrire des livres sur l’espionnage est la seule manière d’être espion: il n’y en a pas d’autre. Car s’il est quelque chose qui ressort du roman posthume de John le Carré, c’est bien que l’espionnage aujourd’hui est mort.