Dans un discours effarant tenu il y a quelques jours à Bormes-les-Mimosas, le président français, tout juste revenu de vacances sur la Côte d’Azur, annonçait qu’il entendait faire «payer le prix de la liberté» à son peuple. Notre correspondant lui répond d’emblée dans cette lettre ouverte: ce sera sans nous!
L’union du trône et de l’autel
Projetons-nous un demi-siècle en arrière: l’Église officielle aurait-elle osé alors défendre l’homosexualité et condamner sa criminalisation? Non, bien sûr. Ce n’était pas dans l’air du temps ni prescrit par l’État. Or les Églises officielles sont très sensibles à l’air du temps. Ainsi qu’aux prescriptions de l’État…