Dans un discours effarant tenu il y a quelques jours à Bormes-les-Mimosas, le président français, tout juste revenu de vacances sur la Côte d’Azur, annonçait qu’il entendait faire «payer le prix de la liberté» à son peuple. Notre correspondant lui répond d’emblée dans cette lettre ouverte: ce sera sans nous!
Le roman, dernier refuge des espions?
A notre époque, écrire des livres sur l’espionnage est la seule manière d’être espion: il n’y en a pas d’autre. Car s’il est quelque chose qui ressort du roman posthume de John le Carré, c’est bien que l’espionnage aujourd’hui est mort.