«Sans le recul, point d’objectivité, mais tous les faibles vous diront que reculer c’est déserter, que définir c’est les trahir et que planer au-dessus du néant c’est manquer à son devoir d’homme, l’homme n’étant plus éternel — selon les faibles — mais actuel et comme jeté dans le monde, un avec tous les misérables (et d’autant plus qu’il nous le semble moins). La servitude a trouvé de nouveaux apologistes, cela nous promet un bel avenir et l’on a sujet de trembler pour nos petits-neveux écrasés sous une montagne de sophismes que les contemporains entassent.» — Albert Caraco, Le tombeau de l’histoire Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
Guerre nucléaire et pulsion de mort
On aimerait dire le contraire, mais chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus du moment où nous allons très probablement basculer dans la guerre. Et quand je parle de guerre, je ne fais pas référence à la «petite guerre», celle dont il était question dans ma précédente chronique: criminalité endémique, colonisation-immigration, terrorisme au quotidien, etc.