Ce dimanche de Pâques, mon hameau s’est réveillé sous une cape de neige, comme s’il avait voulu confondre la Résurrection avec la Nativité…
L’anomie vue depuis un car postal
Jadis, il y avait les «sauvageons» dans les banlieues. Aujourd’hui, la sauvagerie s’invite même dans le cœur du rêve alpestre: les cars postaux suisses. Les chauffeurs sont en première ligne face à la déglingue — et n’ont souvent personne pour les soutenir. L’un d’eux a accepté de témoigner.

