Notre correspondant photographe nous propose cette semaine une chronique très personnelle, mais dont le thème est universel et central. Nous passons ce cri du cœur comme une incitation à réfléchir à la réalité des méthodes «progressistes» par lesquelles on nous propose de simplifier la mort et la vie. Il ne s’agit pas de la condamnation de l’acte d’un homme, mais plutôt d’un acte d’opposition radical à l’esprit du temps.
«L’école de la chair» de Mishima
En submergeant le Japon, la Modernité a secoué un antique édifice de règles et de traditions. Pour le meilleur ou pour le pire? Le roman de Mishima laisse la question délicatement et douloureusement ouverte.