Notre correspondant photographe nous propose cette semaine une chronique très personnelle, mais dont le thème est universel et central. Nous passons ce cri du cœur comme une incitation à réfléchir à la réalité des méthodes «progressistes» par lesquelles on nous propose de simplifier la mort et la vie. Il ne s’agit pas de la condamnation de l’acte d’un homme, mais plutôt d’un acte d’opposition radical à l’esprit du temps.
Se réapproprier le passé
A mesure que les années passent, «nos actes nous suivent», notre vie passée nous revisite et nous hante, et ce d’autant plus que nous ne pouvons plus rien y changer. Y a-t-il un remède à cette impuissance?