Notre correspondant photographe nous propose cette semaine une chronique très personnelle, mais dont le thème est universel et central. Nous passons ce cri du cœur comme une incitation à réfléchir à la réalité des méthodes «progressistes» par lesquelles on nous propose de simplifier la mort et la vie. Il ne s’agit pas de la condamnation de l’acte d’un homme, mais plutôt d’un acte d’opposition radical à l’esprit du temps.
Denis Pouchiline: «Nos enfants n’ont pas connu d’autre monde que la guerre»
Comment vit-on dans l’Ukraine en guerre? Nos médias de grand chemin «couvrent» abondamment la zone pro-occidentale, mais ne s’aventurent guère dans l’autre camp: le Donbass. Ils censurent même les reporters comme Anne-Laure Bonnel, Alina Lipp ou Graham Phillips qui documentent la terrible réalité que vivent ces régions où, depuis dix ans, les civils sont directement ciblés par les forces de Kiev. Guy Mettan s’y est rendu et en a rapporté un entretien avec un responsable de premier plan.