Comme nous avons facilement accepté le règne de l’absurde. Comme nous nous sommes docilement laissés infantiliser. Avec quel flegme nous voyons disparaître notre économie, nos habitudes sociales et nos bonnes manières. Serions-nous déjà passés de l’autre côté du miroir?
La dîme, la taille, le tribut… et quoi encore?
Les Suisses n’ont jamais rampé aux pieds de Hitler comme ils le font aujourd’hui aux pieds des Américains. En plus, cela risque d’être contre-productif.