L’action réelle des «philanthropes» globalistes semble venir d’un monde parallèle. L’illusion est si massive qu’elle s’impose comme la réalité de référence. Celui qui la conteste au nom de la raison est logiquement traité de fou.
La vraie crise: comment l’escamoter?
Il est bien connu que les autorités aiment faire diversion. On amuse ainsi les populations, et pendant ce temps on fait ce qu’on a envie de faire sans être dérangé.