Nous avons cité la semaine dernière une lettre de Hannah Arendt, écrite deux jours après l’assassinat du président Kennedy et ayant pour destinataire le philosophe Karl Jaspers. Cette lettre est capitale pour comprendre le temps où nous sommes.
«Tweet n° 1», ou la langue en apnée
Tel est le paradoxe que soulève ce livre: à l’ère de la supra-rationalité mathématique des algorithmes et des machines, où est le refuge de la conscience?