Le monde que nous avons connu s’écroule sous nos yeux. Nous sommes atomisés, abandonnés, seuls. Cette effrayante détresse a au moins un avantage: elle nous permet de recomposer librement le cercle de notre famille et de nos amis. En cette matière au moins, nous avons encore le choix.
Guerre nucléaire et pulsion de mort
On aimerait dire le contraire, mais chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus du moment où nous allons très probablement basculer dans la guerre. Et quand je parle de guerre, je ne fais pas référence à la «petite guerre», celle dont il était question dans ma précédente chronique: criminalité endémique, colonisation-immigration, terrorisme au quotidien, etc.