épité par les mesures anti-Covid totalitaires du gouvernement Orbán, Raoul Weiss a quitté la Hongrie pour la Suède. Sa lettre à son nouveau pays d’accueil a comme un relent de XXe siècle, où la pensée devait se chercher des terres d’asile pour pouvoir respirer.
Gifles, coups de lame et autres égratignures
Il y a quelques semaines, les médias en Suisse se faisaient l’écho d’une scène de la vie militaire dans ce pays: des militaires hommes avaient été frappés et giflés par leur supérieur hiérarchique, en l’occurrence une femme. En guise de sanction, la dame s’était vue retirer son «commandement», avant d’en obtenir un autre à un autre endroit. On l’avait donc déplacée.

