…Ou comment est née la première Communauté Humaine Débranchée (CHD) de l’histoire.
Observe. Analyse. Intervient.
L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact!
…Ou comment est née la première Communauté Humaine Débranchée (CHD) de l’histoire.
L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact!
Certains historiens s’emploient avec zèle à discréditer le concept même de totalitarisme. Curieusement, les mêmes sont restés muets sur ses incarnations récentes, en particulier l’épisode pseudosanitaire. Leur manquerait-il une dioptrie pour lire les messages de l’histoire?
Les peuples européens sont à l’heure actuelle doublement colonisés: par une migration incontrôlée, d’une part, mais d’autre part aussi par leurs propres dirigeants qui les méprisent et les traitent comme les anciens colons européens traitaient autrefois le reste du monde. Cette deuxième colonisation est au moins aussi importante de la première. Et en plus elle l’explique.
Tout compte fait, lorsqu’on se penche sur les pratiques et les intentions du façonnement scientifique de l’âme humaine, on finit par retomber sur des «sciences» qu’on n’appelait pas «occultes» sans raison.
Il est à nos portes! Il menace nos familles, nos biens, notre argent, il veut tout nous prendre… Qui? L’État? Non, bien sûr: l’ennemi extérieur. Vous ne le pensez pas? C’est que vous travaillez pour lui!
L’ingénierie sociale moderne n’est pas, comme on a pu le croire, une «spécialité» des régimes totalitaires. Elle est plutôt le fruit de recherches menées dans le monde dit «libre». Des recherches si efficaces qu’aucun pouvoir sérieux, depuis, n’a pu s’en passer.
Est-il important aujourd’hui d’être compétent? Être inclusif, diversitaire, climatiquement sensibilisé, oui, c’est très important. On vous interroge sur ces sujets. Mais être compétent? Non seulement cela ne paraît pas nécessaire, mais ce pourrait même être perturbant dans le cadre du système où nous vivons.
Pour expliquer les bruits de bottes actuels en Europe occidentale, on évoque volontiers, afin de les banaliser, le précédent de la guerre froide, qui s’est achevé en 1989 avec la chute du mur de Berlin. En réalité, la comparaison ne mène pas très loin. On peut la tenter, mais ce sont surtout alors les différences qui retiennent l’attention.
Quand les institutions internationales et les Etats s’emploient à normaliser la pédophilie, les parents restent leur dernier recours. Encore faut-il qu’ils sachent à quoi ils ont affaire. Le livre d’Ariane Bilheran et Régis Brunod nous donne des armes pour reconnaître et combattre ces abus généralisés.
Nous avons désormais un bel ennemi extérieur, effrayant à souhait, et tellement bien venu pour resserrer nos rangs et faire taire les grincheux. Mais ce n’est pas le seul dans la palette des épouvantails utiles. De loin pas! On ne peut plus tourner le bouton de la radio sans tomber sur quelqu’un vous parlant de la «menace russe». Personne ne se demande si cette menace existe réellement: ce point est considéré comme acquis et n’est donc jamais examiné en lui-même. Certes, les gens ne sont pas toujours d’accord entre eux. Certains voudraient envoyer des troupes en Ukraine, d’autres non. D’autres encore parlent d’«économie de guerre»: où trouver l’argent? Mais il y a une ligne rouge que personne ne franchit jamais: celle, effectivement, qu’on franchirait si l’on disait que la «menace russe» n’existe pas, sinon dans la tête de ceux qui en parlent: en d’autres termes que c’est un pur produit de […]
La démocratie moderne nécessite, pour être gouvernable, l’assentiment des populations. Mais elle n’est pas très regardante sur la manière dont cet assentiment est obtenu, voire… arraché!
Depuis la fin de la IIe Guerre mondiale, les Européens se sont exercés au suivisme. Ils n’ont même su faire que ça. Et voici qu’ils en récoltent les fruits: quand le gourou se retire, le disciple s’effondre…
L’Europe se souviendra de cette semaine historique de la mi-février 2025. Les Européens n’y sont pour rien, cela dit. Tout s’est déroulé loin, très loin au-dessus de leurs têtes. Les eurocrates n’ont pu que contempler médusés le ballet dans les cieux en trépignant de rage.