Le 23 mars dernier, dans un supermarché des faubourgs de Carcassonne, deux conceptions du sacrifice se sont confrontées. Et l’une a égorgé l’autre. Mais laquelle a vaincu?
Le roman, dernier refuge des espions?
A notre époque, écrire des livres sur l’espionnage est la seule manière d’être espion: il n’y en a pas d’autre. Car s’il est quelque chose qui ressort du roman posthume de John le Carré, c’est bien que l’espionnage aujourd’hui est mort.