Doit-on conclure que rien ne viendra jamais arracher les sociétés européennes aux délices d’une paix perpétuelle, se conjuguant avec celles, proprement inexprimables, du vivre-ensemble?
Le roman, dernier refuge des espions?
A notre époque, écrire des livres sur l’espionnage est la seule manière d’être espion: il n’y en a pas d’autre. Car s’il est quelque chose qui ressort du roman posthume de John le Carré, c’est bien que l’espionnage aujourd’hui est mort.