Une rapide virée à Bucarest, entre les spectres du communisme et le vague à l’âme de la modernité.
Un si désirable anéantissement
Une guerre frontale en Europe aujourd’hui signifierait la destruction du continent et peut-être même de l’humanité. On ne peut pas imaginer que nos dirigeants n’en soient pas conscients. Si, par conséquent, ils parlent de guerre, ce ne peut être que pour la conjurer. Ou bien un effet d’ironie…