Nos rééducations collectives de ces dernières décennies sont-elles le fruit de la nécessité, du hasard ou d’une ingéniérie sociale? Et le remède, au bout du compte, ne serait-il pas pire que le mal?
Guerre nucléaire et pulsion de mort
On aimerait dire le contraire, mais chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus du moment où nous allons très probablement basculer dans la guerre. Et quand je parle de guerre, je ne fais pas référence à la «petite guerre», celle dont il était question dans ma précédente chronique: criminalité endémique, colonisation-immigration, terrorisme au quotidien, etc.