«En ce qui me concerne, je combats au fond dans le socialisme une philosophie qui, en dépit d’une phraséologie «libérale», accorde trop peu à l’homme, à sa nature et à sa personnalité, tout en prenant trop à la légère, dans son enthousiasme pour tout ce qui s’appelle organisation, concentration, direction et appareil, le risque qu’ainsi la liberté se voie tout simplement sacrifiée (comme c’est le cas dans l’Etat totalitaire).» — Wilhelm Röpke, Au-delà de l’offre et de la demande, pour une économie humaine (1958) Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
La Chaîne du Malheur compte sur vous!
Au temps de leur tradition humanitaire, les Suisses contribuaient généreusement à la Chaîne du Bonheur. Depuis, le vent a changé et l’on préfère désormais alimenter la discorde. Nous lançons donc l’idée de la Chaîne du malheur, organisation vindicative suisse pour l’aide aux conflits. Et, comme auparavant, la télévision de service public y contribue avec ses inénarrables animateurs.