La stratégie du choc doit s’entendre au sens propre. C’est en fait un *traitement* de choc. Quand on est en *état de choc*, on ne peut plus rien faire, on est littéralement paralysé. C’est le but recherché. Car c’est quelquefois le meilleur moyen de prendre et de conserver le pouvoir.
Le roman, dernier refuge des espions?
A notre époque, écrire des livres sur l’espionnage est la seule manière d’être espion: il n’y en a pas d’autre. Car s’il est quelque chose qui ressort du roman posthume de John le Carré, c’est bien que l’espionnage aujourd’hui est mort.