Quand on évoque «l’effondrement qui vient», on se dit d’abord: cela va être le chaos, la fin de la civilisation. C’est l’idée qui surgit spontanément. Certains, il est vrai, voient le chaos plutôt d’un bon œil. On va enfin pouvoir s’affranchir de certaines contraintes, faire tout ce qu’il nous plaît. Ou encore, pourquoi pas, se réimmerger dans le Grand Tout. Quel bonheur!
Démanteler la transmission?
En ne prévoyant plus de bibliothèques dans ses ses nouveaux lycées, le gouvernement du Valais innove dans une direction inédite. Mais de quoi nous parle ce «bougisme»?